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Le Chaînon Manquant : Le blog

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Rechercher, Sourcer, Clearer, Négocier : toutes ces actions s’accompagnent de questions quotidiennes. Nous allons dans ce blog vous donner des clefs pour comprendre comment appréhender au mieux vos projets construits à partir d’images, de sons, de documents existants.
Nous allons vous faire partager nos réflexions, tirées de 25 ans d’expérience, souvent sous forme de questions auxquelles nous vous apporterons des éléments de réponses.
Alors….C’est parti !

 

© Death to the Stock - "To the beach"

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La notion de Fair Use est-elle applicable en droit Français ?

Posté par admin le 09 Oct 2019 dans Juridique
La notion de Fair Use est-elle applicable en droit Français ?

© Yury Zap

Issu de la législation et de la jurisprudence américaine, le Fair use est un ensemble de règles de droits applicable dans les pays ayant adopté le système juridique Common Law, comprenant notamment les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

Traduit littéralement par « usage loyal », le Fair use constitue un ensemble de limitations et d’exceptions aux utilisations d’œuvres protégées par le Copyright. En pratique, le concept de Fair use permet aux tribunaux d’apprécier, en cas de litige, si l’utilisation d’une œuvre par un tiers est loyale ou non.

1/ Les critères du Fair use

L’originalité du Fair use réside dans le fait qu’il ne pose pas strictement les limites et exceptions aux droits exclusifs de l’auteur sur son œuvre mais fixe un ensemble de critères (factors) sur lesquels les tribunaux vont fonder leur appréciation.

Aux États-Unis par exemple, les juges vont prendre en compte 4 critères pour déterminer si l’utilisation d’une œuvre constitue un usage loyal :
• L'objectif et la nature de l’utilisation, notamment si elle est de nature commerciale ou à des fins éducatives et non lucratives ;
• La nature de l’œuvre protégée ;
• La quantité et la valeur informative de la partie utilisée en rapport à l'ensemble de l’œuvre protégée ;
• Les conséquences de cette utilisation sur le marché potentiel ou sur la valeur de l’œuvre protégée.

C’est ainsi que la vidéo intitulée « Donald Duck Meets Glenn Beck in Right Wing Radio Duck » qui associe 50 dessins animés classiques de Walt Disney créant un nouveau message sur l'effet de la rhétorique provocatrice en temps de crise économique semble faire l’objet d’une utilisation loyale. Le fait de créer des œuvres qui donnent un nouveau sens à l’œuvre originale peut donc être considéré comme une utilisation autorisée par la loi.

2/ Comparaison entre le Fair use américain et les exceptions légales françaises

L’avantage du Fair use réside dans le fait qu’il permet une appréciation des exceptions autrement plus large qu’en droit français puisqu’il laisse la possibilité aux juges d’identifier de nouvelles exceptions en appliquant les critères légaux fixés dans chaque pays.

A contrario, la conception classique du droit d’auteur fixe une série d’exceptions qui sont limitativement énumérées au sein du Code de la propriété intellectuelle. Cette liste d’exceptions est donc moins souple que le Fair use américain car elle laisse moins de place à l’interprétation du juge.

En résumé, le droit d’auteur français tend vers une protection renforcée de l’auteur en vertu de son droit de propriété exclusif sur sa création, alors qu’à l’opposé, le système Copyright prône l’idée selon laquelle la création est avant toute chose destinée à sa diffusion publique.

3/ Application du Fair use en France

Se pose alors la question de savoir dans quelles mesures le Fair use est applicable en France et plus largement dans les pays n’ayant pas adopté le système juridique Common Law.
En l’absence de relations contractuelles, cette question est réglée par la Convention de Berne selon laquelle la législation applicable est celle « du pays où la protection est réclamée ».

Cette formule ambiguë, souvent interprétée à tort comme désignant la loi locale (lex fori), doit en réalité s'entendre comme la loi « du pays pour lequel la protection est revendiquée », c’est-à-dire de celui où le droit a été méconnu. On assimile le plus souvent cette règle à la loi du lieu de survenance du fait dommageable (lex loci delicti). Cette dernière interprétation est toutefois quelque peu réductrice car elle semble réduire le droit d’auteur à un usage négatif (résultant d’une atteinte au droit) et ignorer l’usage positif de ce droit (exploitation autorisée par son titulaire).

Cette interprétation, confirmée par jurisprudence française, conduit alors à retenir qu’un auteur étranger pourrait bénéficier en France des mêmes droits qu’un auteur français, mais que le Fair use ne pourrait pas s'appliquer en France en cas d'exploitation d'une œuvre réalisée par un auteur étranger. À noter également que la détermination de la qualité d’auteur reste quant à elle soumise à la loi du pays d’origine.

Il apparaît toutefois que les systèmes du droit d’auteur et du Copyright, certes à l’origine conçus comme étant à l’opposé, réalisent un rapprochement réciproque l’un vers l’autre. Ces derniers se rejoignent aujourd’hui de façon plus ou moins complémentaire au nom d’une seule et même finalité, à savoir l’exploitation économique de l’œuvre.

Pourquoi confier vos recherches de vidéos et de photos de stock à un recherchiste ou à un iconographe ?

Posté par admin le 19 Avr 2019 dans Boîte à outils
Pourquoi confier vos recherches de vidéos et de photos de stock à un recherchiste ou à un iconographe ?

© Library of Congress

Parce que nous connaissons de très nombreuses sources

Les sources de stock-shots sont connues de beaucoup d’entre vous, que ce soit pour du stock-shot en droits gérés ou en libre de droit. Nous, documentalistes -recherchistes, connaissons bien évidemment de nombreuses sources, là est l’un de nos points forts.

Parce que nous avons des méthodes de recherche efficaces

Un autre point fort est de prendre le temps de chercher en combinant de nombreux mots-clés et filtres de recherche, permettant d’obtenir des résultats pertinents. Sans compter que certaines sources sont plus spécialisées dans un certain type de contenus, et que nous choisissons les sources les plus appropriées à votre demande.

Parce que nous avons le temps de chercher pendant des heures

Il faut bien souvent fouiller jusqu’aux dernières pages de résultats proposées. Qui d’autre qu’un recherchiste pour passer des journées entières à visiter plusieurs centaines de pages de résultats ?

Parce que nous cherchons en fonction de votre budget

Nous avons besoin de connaître le périmètre d’exploitation : le film ou le print que vous préparez va-t-il être diffusé sur les réseaux sociaux, avec ou sans achat d’espace ? sera-t-il sur le site de l’annonceur ? sera-t-il diffusé en TV, au cinéma ? pendant combien de temps, sur quel territoire ?

Avec ces informations nous pourrons vous communiquer une fourchette de tarifs. Si votre budget ne vous permet pas l’achat de plans en droits gérés, nous vous proposerons une recherche en libre de droit (cf article sur le libre de droit ).

Nous avons aussi besoin d’un brief précis, ce peut être un brief écrit ou un story-board, ou un mood. Vous nous demanderez soit de trouver des vidéos correspondant à vos créations, soit de remplacer des vidéos montées dans un mood inutilisables en termes de droits.

De plus, avez-vous besoin de 2k, 4k ou de la HD suffira ? Plus on monte en qualité d’image, plus le prix sera élevé.

Parce que nos recherches sont juridiquement sécurisées

Nous veillons à ce que les images proposées sont appropriées à votre projet. Certains contenus étant strictement réservés à un usage éditorial, d’autres dédiés aux usages créatifs et commerciaux. Ainsi nous ne vous proposerons que ce qui est exploitable. Nous tenons compte également des droits des personnes à l’image, des enseignes, des marques ou autres droits tiers…

Sans compter que parfois les sources elles-mêmes font des erreurs. Une anecdote éloquente : alors que nous cherchions des plans libres de droit, nous sommes tombés sur des vidéos de Rubik’s Cube! Il n’est pas possible que cet objet faisant l’objet d’une licence de marque soit libre de droit.

Parce que des autorisations complémentaires sont peut-être à obtenir

Une autre fois, nous avons vu un plan de la Fondation Louis Vuitton en libre de droit : impossible que les autorisations aient été signées pour toutes les utilisations. L’utilisation d’un telle vidéo nécessiterait une demande auprès de la fondation.

Du temps, de la patience, de la vigilance. C’est ce que propose un recherchiste-documentaliste ou Iconographe. Bien sûr, vous avez accès à de nombreuses vidéos et photos depuis vos logiciels de montage. Mais avez-vous le temps de fouiller pour trouver le plan ou la photo parfaite tout en vous assurant des droits, des autorisations ?

Droit à l’image et limites jurisprudentielles

Posté par admin le 23 Mar 2019 dans Juridique
Droit à l’image et limites jurisprudentielles

© Pond5 / Igor Stevanovic

Le droit à l’image permet aux individus de protéger leur image en consacrant un droit d’interdire la diffusion de cette image sans autorisation.

Ce principe souffre cependant de certaines exceptions, telles que la présomption de consentement pour les personnalités publiques ou encore le droit à l’information du public.

Ces exceptions restent toutefois d’interprétation stricte. En effet, en toutes hypothèses, la diffusion de l’image d’une personne réalisée sans son autorisation :
– Ne doit pas relever d’une exploitation commerciale ;
– Et ne doit pas porter atteinte à la dignité de la personne représentée.

Parmi ces exceptions développées et consacrées par la jurisprudence, le droit à l’image comporte également des limites qui sont encore discutées et qui n’aboutissent pas toujours à la même solution jurisprudentielle.


• Le droit à l’image et la question du second plan

Il n’est pas besoin d’autorisation si le sujet n’est qu’au deuxième plan de l’image dans la mesure où la photo n’a pas été prise pour lui mais, mais pour ce qui est représenté au premier plan. Il s’agit là d’une mise en œuvre du critère de l’accessoire que l’on retrouve en droit d’auteur à propos du droit de citation.
Il est donc en principe nécessaire que le sujet soit au premier plan pour qu’un consentement soit requis. Cette solution prend en compte la difficulté de gérer un trop grand nombre d’autorisations.

Cette règle vaut également pour le droit à l’image des biens : La Cour avait en effet retenu le 25 janvier 2000 que la représentation d'un bien sur des cartes postales pouvait être constitutive d'un trouble manifestement illicite, dès lors que ce bien était le sujet principal de l'image.

Mais par exception, une photo peut exiger le consentement d’une personne située en arrière-plan. En effet, dans l’hypothèse où le photographe ferait semblant de prendre un premier plan, alors qu’il recherche l’image de la personne située au second plan, celui-ci commettrait un acte illicite. Il ne pourrait en ce cas se prévaloir de la théorie de l’accessoire.
Le tribunal de Grande Instance de Paris en a jugé ainsi le 28 juillet 2000 concernant la photo d’un mannequin situé au second plan mais dont la présence sur la photo n’était pas fortuite.


• Le droit à l’image et la liberté de création

Ici encore un parallèle peut être fait avec le droit d’auteur. Dans l’affaire dite des « Misérables » la Cour de cassation avait jugé le 30 janvier 2007 que les héritiers du droit moral de Victor Hugo ne pouvaient s’opposer à la création d’une suite des Misérables par un tiers, cela au nom de la liberté de création.
Le droit au respect de l’œuvre, prérogative puissante du droit moral, étant un droit de la personnalité, la balance devrait pencher du côté de la liberté de création au détriment du détenteur du droit moral.

Par ricochet une exception semblable s’est fait jour en droit à l’image. En témoigne l’affaire jugée le 5 novembre 2007 et confirmée par la Cour d’appel. Dans les faits, une personne assise sur un banc dans la rue, d’apparence un peu « snob », avait été photographiée pour illustrer de manière ironique, un recueil sur l’exclusion sociale. Faute de consentement elle s’en plaignit en justice arguant que « toute personne a droit au respect de son image ». Les magistrats ont rejeté sa demande au motif que le droit à l’image n’est pas absolu (alors que les juridictions affirment d’ordinaire le contraire) et qu’il doit se combiner avec la liberté d’expression. La Cour relève également qu’outre l’illustration d’un fait d’actualité ou d’un débat d’intérêt général, ce droit ne peut faire obstacle à la liberté d’expression artistique ou de communication des idées.

La preuve d’un préjudice causé par la photographie (caractère dégradant, situation intime…) semble donc être un élément nécessaire pour que l’atteinte à la vie privée soit retenue par les juges contre la liberté de création artistique.

Pour autant, cette jurisprudence reste toutefois isolée et la liberté de création ne doit pas servir de prétexte pour contourner l’exigence d’une autorisation, d’autant plus lorsqu’il s’agit d’exploiter l’image à des fins directement commerciales.

Pub : " Allianz, partenaire mondial du Mouvement Olympique "

Posté par admin le 25 Oct 2018 dans Interviews
Pub : " Allianz, partenaire mondial du Mouvement Olympique "

© La Firm / Willie Beamen Conseil

LE BLOG : Yannis, vous venez d’achever un projet publicitaire de grande ampleur. Pouvez-vous nous en dire deux mots ?

YANNIS : Il s’agit plus exactement d’un film de communication au retentissement mondial : le groupe Allianz annonce devenir le principal partenaire des Jeux Olympiques et des Jeux Paralympiques. Aux manettes, l’agence Willie-Beamen et la production Firm Studio. Cette annonce est si importante qu’il était donc nécessaire de réaliser un film de haute qualité, pour marquer les esprits. La discrétion était de mise, nous avons dû garder le secret, même auprès des sportifs et des sources que nous sollicitions.

LE BLOG : C’est un film entièrement constitué d’archives et d’images de stock. C’est tout de même un pari risqué que de faire de la haute couture avec du stock-shot et de l’archive.

YANNIS : Les archives sportives ont une aura singulière. C’est toujours émouvant de voir Renaud Lavillenie ou Dick Fosbury tutoyer la barre sans jamais la toucher. Ces images, nous les connaissons par cœur, mais nous nous en lassons jamais. Quant au stock-shot, il évolue, il suit les améliorations techniques et élargit ses standards esthétiques. On peut désormais trouver des images très qualitatives, à condition d’y mettre le prix.

LE BLOG : Pourtant, on trouve des choses très bien en Libre de Droits.

YANNIS : Le Libre de Droits se bonifie avec le temps, mais il reste bas de gamme. De plus en plus de projets sont budgétisés sur la base du Libre de Droits, tout en désirant des images toujours plus esthétiques et élaborées. La désillusion est grande quand la qualité esthétique n’est pas au rendez-vous, ou qu’on ne trouve pas ce qui nous est demandé. Pour Allianz, toutes les conditions étaient réunies pour faire un bon film : budget adéquat, temps de recherche suffisant, demandes réalisables et possibilité d’être force de proposition. Nous avons par exemple émis l’idée de prendre un extrait de Popeye. L’idée a été retenue.

LE BLOG : Et la clearance de droits ? (voir Faire une publicité avec des images de football)

YANNIS : Nous nous sommes répartis les rôles avec l’agence Willie-Beamen. Chaque sportif a bien sûr été négocié, tout comme il a fallu approcher les ayants droit du personnage de Popeye. Non, il n’est pas dans « tombé dans le Domaine Public » !

LE BLOG : Une dernière chose à ajouter ?

YANNIS : Oui, ce projet a été bien plus qu’une prestation pour Le Chaînon Manquant. Il a été une véritable collaboration. Outre la recherche d’images et la clearance de droits, l’agence et la production nous ont beaucoup sollicités à propos de questions juridiques. Prenez un 100m : suivant l’axe ou le mouvement de la caméra, soit l’accord d’un coureur est indispensable, soit il ne l’est pas. On ne le répètera jamais assez, mais en ce qui concerne le droit dans le champ audiovisuel, c’est avant toute une question d’appréciation. D’un plan à l’autre, tout peut changer !

Dans le monde des Bikers

Posté par admin le 29 Sep 2018 dans Interviews
Dans le monde des Bikers

© Gang Film

 

LE BLOG : En mai 2018 a été diffusé sur RMC Découvertes le documentaire « Dans le monde des Bikers », de Philippe Lellouche. Pouvez-vous nous dire comment vous avez été amené à travailler sur ce film ?

 

VINCENT : Une fin d’après-midi, en juillet 2017, un directeur de post-production de publicité, de Gang Films, avec qui nous avions travaillé pour le film Audi « Rainmaker », m’appelle en me demandant : « Bonsoir Vincent, on se demandait, est-ce que vous faites aussi des recherches d’images anciennes, du genre archives, pour des documentaires ? ». La question m’a bien évidemment amusé, car c’est l’origine même de notre métier, que de rechercher des archives pour des documentaires. La recherche et la clearance d’images de stock pour la publicité est, en fait, une activité qui s’est développée par la suite.

 

LE BLOG: Cela arrive souvent que des clients du monde de la publicité vous demandent de travailler pour un documentaire, ou un long-métrage ?

 

VINCENT : Parfois. Nos clients travaillent le plus souvent dans un seul secteur : la publicité, le documentaire, le long-métrage, ou les musées. Généralement, ils ne savent pas que nous travaillons aussi pour d’autres secteurs. Il y a des silos, et nous, notre activité est transversale. Mais de plus en plus de responsables de production passent d’un secteur à l’autre, et nous sommes un repère pour eux dès qu’il y a une recherche ou une clearance à réaliser.

 

LE BLOG: Quels étaient les demandes du réalisateur ?

 

VINCENT : Les archives n’étaient pas le cœur même du film, elles intervenaient à quelques moments précis pour constituer des séquences explicatives. Le film cherche à porter la voix des bikers, leurs témoignages. Les séquences d’archives sont là pour apporter des éclairages. Un éclairage historique d’abord : l’origine des clubs de bikers, pour lequel on a cherché les images des aviateurs de la 2nde Guerre Mondiale, revenant du front Pacifique. Un éclairage symbolique ensuite : leurs références mythiques, et l’on montre les équipages fraternels de pirates. Un éclairage culturel enfin : l’influence réciproque entre l’univers des bikers et le cinéma des années 1960 et 1970.

 

LE BLOG : Comment avez-vous organisé ces recherches ?

 

VINCENT : Le budget était restreint. Avec une contrainte budgétaire forte, nous avons dans un premier temps fait des recherches larges, dans un grand nombre de sources. Dans un deuxième temps, nous avons identifié les sources qui avaient le plus de documents pertinents. Dans un troisième temps enfin, nous avons conclu des accords sur le volume avec un nombre restreint de sources. Au final, la conformation s’est faite avec tout de même 9 sources différentes, alors qu’une quinzaine avaient été sollicitées.

 

LE BLOG : Et vous avez trouvé des pépites ?

 

VINCENT: (Rires) C’est toujours la même question ! Tout le monde veut des pépites, mais elles se font rares. Et pour les trouver, il faut du temps. Fort heureusement, nous travaillons en grande confiance avec Gang Films, et ils ont pris en compte notre recommandation : ne pas sous-estimer le temps de recherche.  Et cela nous a permis de trouver quelques pépites, comme l’atterrissage d’un avion de la 2nde Guerre Mondiale, sur la carlingue duquel une pinup est peinte, avec l’inscription : « Hell’s Angel ».

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